Confort d'été : comment agir ?

Lorsqu’on examine la notion du confort thermique, il apparaît qu’il repose sur une multitude de paramètres : ossature du bâtiment, systèmes techniques, configuration des espaces extérieurs, comportement de l’usager, etc. Le confort doit être géré avec une vision systémique regroupant de fait un ensemble de facteurs (été, mi-saison et hiver). Certaines solutions sont, de prime abord, avantageuses mais dépendent fortement du contexte (zone climatique, saison, matériaux, structure, etc …).

Agir efficacement pour le confort d’été doit impérativement passer par un plan d’action multicritères, et doit combiner une méthodologie de moyens et de garanti de résultats. Le confort d’été s’évalue et s’appréhende en tenant compte d’un ensemble de paramètres essentiels tels que la température de l’air, l’humidité relative, la vitesse de l’air, la température radiante moyenne, les vêtements, l’activité métabolique et les conditions environnementales spécifiques (ICU, patrimoine arboré, présence du littoral, albédo des revêtements extérieurs…).

La démarche Héolem reconnaît que chaque bâtiment et chaque situation peuvent présenter des exigences de confort thermique spécifiques. Elle permet donc une adaptation flexible des critères en fonction du type d’occupation, de l’activité exercée et des caractéristiques du bâtiment, tout en respectant les recommandations des normes de référence.

Lorsqu’on examine la notion du confort thermique, il apparaît qu’il repose sur une multitude de paramètres : ossature du bâtiment, systèmes techniques, configuration des espaces extérieurs, comportement de l’usager, etc. Le confort doit être géré avec une vision systémique regroupant de fait un ensemble de facteurs (été, mi-saison et hiver). Certaines solutions sont, de prime abord, avantageuses mais dépendent fortement du contexte (zone climatique, saison, matériaux, structure, etc …).

Agir efficacement pour le confort d’été doit impérativement passer par un plan d’action multicritères, et doit combiner une méthodologie de moyens et de garanti de résultats. Le confort d’été s’évalue et s’appréhende en tenant compte d’un ensemble de paramètres essentiels tels que la température de l’air, l’humidité relative, la vitesse de l’air, la température radiante moyenne, les vêtements, l’activité métabolique et les conditions environnementales spécifiques (ICU, patrimoine arboré, présence du littoral, albédo des revêtements extérieurs…).

La démarche Héolem reconnaît que chaque bâtiment et chaque situation peuvent présenter des exigences de confort thermique spécifiques. Elle permet donc une adaptation flexible des critères en fonction du type d’occupation, de l’activité exercée et des caractéristiques du bâtiment, tout en respectant les recommandations des normes de référence.

Les principaux leviers du confort d’été dans les bâtiments

Ventilation
naturelle

Choix des
matériaux

Partis pris
architecturaux

Traitements des
espaces extérieurs

Arbitrage entre
l'été et l'hiver

Systèmes
passifs

Pour la construction neuve, le confort d’été nécessite de créer une synergie entre tous les acteurs techniques impliqués dans la conception. Le bâtiment doit être réfléchi dans sa globalité où tous éléments doivent être conçus sous le prisme de la valorisation du confort d’été.

Pour la rénovation, il est indispensable de dresser un état initial complet sur tous les aspects ayant un lien ou une influence sur le confort estival. Cette étape est indispensable pour mettre en place des actions de réhabilitation efficace et adapté aux spécificités du site que ce soit sa configuration, sa localisation et son usage.